Wisborg —1838. Hutter et Ellen, jeunes mariés, vivent paisiblement, jusqu’au jour où l’agent immobilier Knock reçoit de Transylvanie une mystérieuse lettre du comte Orlok ; celui-ci désire acquérir une demeure dans les environs. Knock charge alors Hutter de se mettre en route pour le château du comte toute affaire cessante. Malgré les protestations de sa jeune épouse, Hutter entame le long voyage. Et une fois sur place, c’est le début du cauchemar…
“Nosferatu, Une Symphonie de l’Horreur” au Théâtre Colón de Bogotá
Plus qu’une séance de cinéma
Le ciné-concert “Nosferatu” propose aux spectateurs de revivre les émotions du film “Nosferatu, Une Symphonie de l’Horreur”, chef-d’œuvre du cinéaste expressionniste Friedrich Wilhelm Murnau, au cours d’une séance de cinéma inoubliable. Accompagné par 13 musiciens, en direct comme pendant l’âge d’or du cinéma muet, sur une nouvelle partition d’Alexis Savelief, “Nosferatu” retrouve toute la puissance expressive de ses images et la force de son récit intemporel, se parant au passage d’une touche de modernité. C’est l’occasion de découvrir ou redécouvrir ce petit bijou de cinéma.
Parce que les producteurs de “Nosferatu, Une Symphonie de l’Horreur” n’avaient pas acquis les droits d’adaptation de “Dracula” auprès de Florence Balcombe, la veuve de Bram Stoker, toutes les copies du film furent destinées à la destruction, au terme d’un procès retentissant. Et pourtant…
LireLorsqu’Alexis Savelief travaille à sa nouvelle partition musicale pour le film muet “Nosferatu, Une Symphonie de l’Horreur”, de 2004 à 2006, c’est l’occasion pour lui de dépoussiérer cette imagerie terrifiante du mythe des vampires, et de lui insuffler un peu d’optimisme.
Lire & regarderPour découvrir le nouvel accompagnement musical d’Alexis Savelief, composé spécialement pour le ciné-concert “Nosferatu, Une Symphonie de l’Horreur”, rien de mieux que de suivre le guide et se plonger pas à pas dans les méandres musicaux de cette partition hautement structurée.
Lire & écouterLe ciné-concert “Nosferatu” en quelques chiffres…
L’âge d’or du cinéma muet expressionniste.
La première adaptation de “Dracula”.
L’émotion d’un grand moment de cinéma
et d’un concert en une seule séance.
8 violoncelles, 3 synthétiseurs, 2 percussionnistes :
tout un monde sonore…
Pour caractériser au mieux les personnages
et les situations.
Répartis en 5 actes dramatiques
pour raconter l’histoire dans toute sa force.
La bobine tourne, les pages aussi !
Pour contenir toute la partition.
Synchronisées à l’image près.
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